Détoxination plantaire
Références scientifiques:
I: Dr Bernard Raymond Fabre-Palaprat
https://books.google.fr/books?id=8s8_AAAAcAAJ&pg=PA335&lpg=PA335&dq=Dc+bernard+Raymond+Fabre-Palaprat+l%27%C3%A9lectricit%C3%A9&source=bl&ots=VtLepDs248&sig=eepaadKIpo5yzfQrbikIR42pitQ&hl=fr&sa=X&ved=0CCYQ6AEwAWoVChMI3eTr_tODxwIVg1YUCh0Jqwp8#v=onepage&q=Dc%20bernard%20Raymond%20Fabre-Palaprat%20l’%C3%A9lectricit%C3%A9&f=false
II: The Nobel Prize in Chemistry 2003
Peter Agre, Roderick MacKinnon
Communiqué de presse: Le Prix Nobel de Chimie 2003
Le 8 octobre 2003
L’Académie Royale des Sciences de Suède a décidé d’attribuer le Prix Nobel de Chimie de l’année 2003, « pour des découvertes concernant des canaux dans la membrane cellulaire» pour moitié à
Peter Agre
Johns Hopkins University School of Medicine, Baltimore, USA
»Pour la découverte des canaux à eau»,
Et pour l’autre moitié à
Roderick MacKinnon
Howard Hughes Medical Institute, The Rockefeller University, New York, USA
« Pour des études structurelles et mécanistiques sur les canaux à ions ».
Les canaux moléculaires nous donnent accès à la chimie cellulaire
Notre corps se compose d’environ 70% d’eau salée. Le prix Nobel de l’année récompense deux chercheurs dont les découvertes ont permis d’élucider la façon dont les sels (des ions) et l’eau sont transportés à travers la paroi de nos cellules. Ces découvertes nous permettent de comprendre au niveau moléculaire comment, par exemple, le rein retire l’eau de l’urine primaire et comment les signaux électriques émis dans nos cellules nerveuses apparaissent et se propagent. Ceci est d’une importance capitale pour notre compréhension d’un grand nombre de maladies, rénales, cardiaques, musculaires ou affectant le système nerveux.
Dès le milieu du XIXe siècle, les chercheurs soupçonnaient déjà que nos cellules devaient disposer de canaux spécifiques au transport de l’eau mais ce n’est qu’en 1988 que Peter Agre réussit à isoler une protéine de la membrane cellulaire. Il se rendit compte peu de temps après que c’était le canal à eau recherché depuis si longtemps. Cette découverte décisive ouvrit bientôt la porte à de nombreuses études biochimiques, physiologiques et génétiques des canaux pour l’eau chez les bactéries, les plantes et les mammifères. Aujourd’hui, les chercheurs peuvent suivre en détail le passage d’une molécule d’eau à travers la membrane cellulaire et comprendre pourquoi celle-ci laisse passer l’eau tout en faisant barrière à toute autre petite molécule ou ion.
L’autre type de canal dans la membrane, dont la découverte est récompensée cette année, se rapporte aux ions. Roderick MacKinnon provoqua la surprise dans l’ensemble de la communauté scientifique lorsqu’il réussit, en 1998, à déterminer la structure spatiale d’un canal pour le potassium. Grâce à sa contribution, nous pouvons aujourd’hui «voir» des ions passer par les canaux qui s’ouvrent et se referment selon des signaux cellulaires.
Les canaux à ions sont vitaux au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Ce qu’on appelle le potentiel d’action des cellules nerveuses (ou neurones) apparaît quand un canal à ions situé à la surface d’un neurone est ouvert par un signal chimique envoyé par un neurone adjacent, après quoi une impulsion électrique se propage le long de la surface de la cellule nerveuse grâce à l’ouverture et à la fermeture d’une série de canaux à ions, cela en l’espace de quelques millisecondes.
Le prix de cette année illustre la façon dont la biochimie atteint le niveau atomique pour mieux comprendre le processus de la vie.
Roderick MacKinnon, est né en 1956 (47 ans). Originaire de Burlington aux environs de Boston aux États-Unis (citoyen américain). Il obtint un doctorat de médecine en 1982 à la Tufts Medical School à Boston aux Étas-Unis. Il est professeur de neurobiologie moléculaire et de biophysique à The Rockefeller University à New York aux États-Unis.
Peter Agre, est né en 1949 (54 ans) à Northfield au Minnesota (citoyen américain). Il obtint un doctorat de médecine en 1974 à la Johns Hopkins University School of Medicine à Baltimore, États-Unis. Il est professeur de chimie biologique et professeur de médecine à la Johns Hopkins University School of Medicine à Baltimore aux États-Unis.
III : Ionisation Santé-Vitalité: Les bienfaits des ions négatifs
Dr Hervé Robert, chargé de cours à la faculté de Médecine de Paris XIII et médecin spécialiste en communication médicale.
Voici certains extraits du livre :
« La supplémentation en ions négatifs n’est pas un luxe superflu, mais bien une nécessité, une exigence vitale, destinée à assurer la permanence et le respect des mécanismes fondamentaux de la vie. L’ionisation négative et ses effets bénéfiques sur l’organisme humain restent scandaleusement méconnus. »
« P. Berthelon déclare que l’hygiène électrique, la pathologie et la thérapeutique électrique sont des sciences nouvelles dont l’importance ne peut être mise en doute. Il est clairement démontré que les ions négatifs ont un réel effet bénéfique sur l’organisme humain. Un historien des sciences pourrait d’ailleurs s’étonner que l’on ait tant tardé à le faire savoir, étant donné l’ancienneté des découvertes et des travaux de recherche.»
« Les sous-marins allemands, pendant la Deuxième Guerre mondiale, étaient équipés d’appareils produisant des ions négatifs puisque les premiers effets d’une carence ionique est la perte de vitalité et une fatigue chronique. »
« Les ions négatifs sont surtout des ions « oxygène » (le Pr. Métadier les avait baptisés les oxions) et c’est de leur présence en quantité suffisante dans notre environnement que dépendra notre bien-être. »
« Les ions négatifs ont un effet positif sur les animaux, les végétaux et les insectes. Ils détruisent les germes et les champignons et stimulent la reproduction cellulaire. De par ces observations, il est difficile d’invoquer l’effet placebo pour expliquer les résultats obtenus. »
« Les ions négatifs agissent favorablement sur le niveau de sérotonine, sur les glandes endocrines, sur le Cycle de Krebs, sur l’oxygénation des tissus, sur le système nerveux végétatif (SNV) et sur les échanges cellulaires. Une excellente denrée dynamisante pour les sportifs, les personnes âgées, les malades et toutes les personnes en quête de bien-être et de mieux-être. »
IIII : ION Miracle: Effets des ions négatifs sur la santé et le bien-être physique et mental
Jean-Yves Côté, chercheur indépendant québécois, a écrit cette compilation de faits scientifiques prouvant l’importance d’une bonne supplémentation en ions négatifs dans nos vies. Voici un extrait :
« Grâce aux ions négatifs : On soigne les grands brûlés à Philadelphie, asthme et allergies pulmonaires sont soulagés, les athlètes performent beaucoup mieux, on développe de meilleurs réflexes, le cycle menstruel se régularise, la sexualité s’améliore, les microbes sont tués, etc. »
V : The Ion Effect: Découvertes révolutionnaires à propos des particules chargées électriquement capables de modifier votre humeur et votre bien-être
Fred Soyka était physiquement et émotionnellement amoché jusqu’à ce qu’un docteur suggère qu’il y avait « quelque chose d’électrique dans l’air » qui pourrait le rendre malade et morose. Cette remarque propulsa M. Soyka sur une odyssée de découvertes scientifiques sur l’effet des ions. Voici quelques extraits du livre, traduits librement :
« Les ions négatifs régularisent le taux de sérotonine, une neurohormone qui, lorsque présente en excès, provoque l’insomnie, les cauchemars, les stress mentaux, émotionnels et psychologiques, l’anxiété et la dépression. Un soulagement de ces conditions est ainsi observé par une supplémentation en ions négatifs. »
« Dr Stark déclare que l’ionisation environnante et naturellement omniprésente est comparable à de l’eau dans laquelle un humain nage : sans elle, il ne peut survivre, tout comme un poisson mis hors de l’eau. »
« Les ions négatifs, essentiels à la création de toute forme de vie et à son maintien, font partie intégrante de l’activité biologique. Les scientifiques n’ont jamais constaté qu’une overdose d’ions négatifs ait fait autre chose que de vous maintenir plus éveillé, plus actif et plus fonctionnel tout au long de la journée. »
« En 1977, il y avait déjà environ 5 000 expériences scientifiques documentées soutenant la conclusion qu’une overdose d’ions positifs est mauvaise pour l’organisme humain alors qu’une supplémentation en ions négatifs semble être favorable au mieux-être. »
« Dr Albert P. Krueger de l’Université de Californie déclare que la communauté scientifique prend beaucoup trop de temps à considérer avec sérieux l’influence importante des ions négatifs sur le niveau d’énergie et la santé générale. »
« Les athlètes russes de niveau olympique ont étonné le monde et avaient une arme d’entrainement spéciale inconnue des autres pays. Aujourd’hui, nous croyons que cette arme était la supplémentation en ions négatifs. »
« Certains chercheurs prétendent que les ions négatifs, sans aucun autre traitement, sont en mesure de guérir les attaques d’asthme et de bronchite plus rapidement et plus efficacement que les médicaments et les antibiotiques. »
« En 1975, un docteur allemand avait déjà traité plus de 11 000 personnes par la thérapie aux ions négatifs. Certains hôpitaux brésiliens utilisent des appareils à base d’ions négatifs pour le traitement des problèmes respiratoires et pour soulager les allergies. »
« Près de 60% des Nord-Américains qui vivent et travaillent dans les villes (zones urbaines) souffrent d’un empoisonnement aux ions positifs. Plus particulièrement, les conducteurs de véhicules routiers qui sont grandement affectés par cette carence en ions négatifs. »
« Toutes les découvertes russes considèrent que les ions négatifs ont une valeur distincte comme thérapie médicale dans les cas d’anomalies physiologiques, peu d’effet sur les personnes en bonne santé et aucun effet secondaire indésirable. »
VI : Mes secrets naturels pour guérir et réussir
Rika Zaraï, auteure à succès, pionnière de la santé au naturel. Voici des extraits de son livre :
« Les ions négatifs diminuent la nervosité, le stress et l’anxiété. Ils permettent donc un meilleur sommeil, plus profond et plus réparateur. Ils sont indispensables pour défatiguer, améliorer les réflexes, accroître la rapidité et l’endurance. Bref, pour améliorer nos performances physiques. »
« L’énergie des ions négatifs n’a pas fini de nous étonner. Les yogis l’appellent Prana. Nous commençons seulement à mesurer toute l’étendue de ses bienfaits. Les grippes, les angines, les rhumes, l’asthme, les bronchites et les sinusites s’améliorent, l’oxygénation s’effectue infiniment mieux, l’hypothalamus et les surrénales sont vivifiés. »
« Comme toute chose dans l’univers, nous fonctionnons à l’électricité. Des modifications dans l’intensité de cette électricité affectent donc notre comportement. Chacune de nos milliards de cellules a besoin de cette énergie électrique (bio-électricité) pour fonctionner. »
« D’éminents chercheurs, tels les Soviétiques Tchijewsky et Sokolf ou le Français Jacques Métadier, ont formellement établi le danger représenté par un excès d’ions positifs, ainsi que les bienfaits procurés par les ions négatifs qui entraînent une certaine euphorie psychique et physique, permettent un bon sommeil et rajeunissent l’organisme. »
« L‘ingénieur Pierre Fluchaire estime que l’insuffisance des ions négatifs ou l’excès des ions positifs nocifs dans les grandes villes est une cause de l’agressivité et de la violence. »
« Les ions négatifs éclaircissent le sang et l’oxygénise, ce qui facilite sa circulation et améliore les processus mentaux (mémoire, concentration et attention). »
« Aucun organisme ne peut rester en vie sans l’apport d’ions négatifs. Sans eux, on peut mourir d’asphyxie étant donné que l’oxygène ne pénètre pas dans l’organisme qui s’engorge alors de déchets métaboliques acides et toxiques. L’efficacité du système immunitaire est alors compromise. »